Préparer sa retraite

Nul ne peut compter aujourd’hui exclusivement sur sa seule retraite du régime général pour subvenir à ses vieux jours, surtout pour la nouvelle génération qui rentre sur le marché du travail.

Avec le temps, tout le monde a mesuré la gravité de la situation mais également, a à peu près compris que les cotisations obligatoires des « travailleurs », quels que soient leur statut (salarié, cadre, profession libérale, chef d’entreprise) servent à alimenter les pensions des retraités actuels (c’est ce qu’on appelle pudiquement la « solidarité intergénérationnelle »).

En 1970, il y avait 4 actifs pour un retraité ; en 2000, 2 actifs pour un retraité ; en 2023, 1,7 actifs pour un retraité.

En 2030, l’Insee prévoit 1,3 actifs pour un retraité.

Comme on le voit, le déséquilibre ne fait que s’accentuer et ce que l’on nous présente comme la « solidarité intergénérationnelle » ressemble fort à une pyramide de Ponzi.

Alors, que doivent faire les cotisants actuels et surtout la jeune génération pour ne pas être réduits à la pauvreté dans leurs vieux jours ?

La réponse est toute faite. Ils doivent investir, le plus tôt possible et régulièrement : immobilier pour la résidence principale, mais également immobilier locatif, capitalisation, assurance-vie, Plan d’Epargne Retraite (PER)… 

L’important est d’investir et d’épargner, sous toutes ses formes, mais La Nouvelle Financière saura guider les épargnants vers des choix ciblés en fonction de l’âge, du statut, de la fiscalité, de l’historique et de la reconstitution de carrière.